Je me balade au bord de la rivière du Lion quand tout à coup je tombe nez à nez avec un extraterrestre !
– Salut peux-tu- m’aider ? Mon vaisseau c’est fait percuter par un astéroïde, et j’ai donc perdu le contrôle ! Me voilà sur la planète Terre ! Je veux rentrer sur la planète Mars, peux-tu m’aider ?
J’ai voulu répondre mais il continue… Comme je ne savais pas réparer son vaisseau il a dû se débrouiller seul. Je lui ai apporté un verre de limonade, pour qu’il se rafraîchisse.
– Merci euh… s’il te plaît, peux-tu m’accompagner jusqu’à ma planète ? J’ai un peu peur d’aller seul, ce n’est pas très loin, c’est à six minutes d’ici.
J’ai réfléchi et j’ai accepté de l’accompagner.
Six minutes plus tard…
Et voilà, nous sommes arrivés sur la planète Mars !
– Veux-tu du gâteau ? C’est pour te remercier de m’avoir accompagné.
Je voulais une part de gâteau, mais il m’a donné le gâteau en entier !
– Tu dois rentrer chez toi maintenant, il commence à se faire tard.
Je me demandais comment j’allais faire pour rentrer chez-moi, et il a continué…
– Je vais te téléporter sur la planète Terre. Fais attention ça va secouer un peu !
J’avais un peu peur mais ça allait mieux. Alors je lui ai dit au revoir, et il m’a dit au revoir.
Trente secondes plus tard…
J’étais à nouveau au bord de la rivière du Lion. La téléportation est plus rapide que le trajet en vaisseau ! Je suis rentrée chez moi avec mon gâteau à la main. Mon frère m’a demandé où j’avais acheté ce gâteau. Je lui ai répondu que si je lui disais il ne me croirait pas.
Alors il a haussé les épaules.
Vendredi 11 octobre nous sommes partis dans une forêt et nous avons fait une expression écrite.
J’ai vu des grands arbres et des feuilles de toutes les couleurs. J’entendais la rivière qui coulait et les oiseaux chanter. Quand on marchait les branches mortes craquaient sous nos pieds. L’odeur de la forêt est naturelle. J’ai touché les feuilles douces et les troncs d’arbres rugueux. J’étais contente de vivre cette sortie. Ensuite nous avons continué de marcher et nous sommes arrivés pour pique-niquer.
Enfin, nous avons terminé notre journée par le village de Choully pour faire de belles photographies.
Rose a proposé d’aller explorer la grotte, alors Brieuc et moi sommes allés chercher une lampe et une corde…
Par le passé, on avait déploré de nombreux accidents dans cette grotte, pire, des choses très étranges : disparitions, blessures inexplicables, des contes et des légendes sûrement… Etant enfant, lire des journaux n’est pas très amusant, de ce fait, nous ne savions rien de tout cela. Le contraire nous aurait fort découragé, mais nous aurait sauvés…
L’entrée de la grotte était… mal entretenue. Un arbre desséché et sans feuillage arrivait à se dresser sur ses dernières racines, un panneau « danger » dont les lettres rouges étaient effacées par le temps et la pluie gisait là, à l’entrée de la grotte, au milieu de la boue. Mais cela ne nous a pas pour autant découragés – les enfants sont très têtus -. L’intérieur de la grotte n’était point meilleur, l’odeur de moisissures et de champignons piquait le fond de la gorge. La lumière semblait ne pas vouloir entrer dans cet endroit disgracieux et engourdissant. La pierre était coupante et glissante. Des gouttelettes nous tombaient sur la tête. L’air était tellement humide que la lampe a été difficile à allumer. Bientôt nous fûmes dans un endroit où les stalagmites et les stalactites menaçaient de nous transpercer la tête et les chevilles. La poussière nous faisait tourner la tête. Brieuc se retourna pour éternuer, et, dans la grotte la voix de Rose résonna :
– Brieuc, derrière toi ! Je mis du temps à comprendre ce qui s’était passé. Brieuc était tombé dans trou, il s’accrochait désespérément au bord. Sous le choc, il avait lâché la lampe de rechange, celle-ci s’écrasa sur le sol quelques mètres plus bas. – Brieuc ! cria Rose. On va te lancer une corde, tu vas l’attacher à ta ceinture, et on va te remonter ! Brieuc exécuta, non sans mal, la demande de Rose. Nous tirâmes de toutes nos forces. Mais nos efforts étaient vains. Brieuc était coincé. – On va aller chercher des secours ! T’inquiète pas, dit-elle d’une voix pas du tout rassurante. Le garçon, blême, acquiesça faiblement, avant de s’évanouir.
Pendant plusieurs minutes personne n’osa prononcer un mot. Enfin, Rose jeta furieusement des pierres sur le mur. Les pauvres roches millénaires n’en pouvaient plus, elle lâchèrent… L’entrée s’effondra laissant paraître un dernier rayon de soleil, avant qu’une nuit noire ne s’abatte sur la grotte. J’aperçus une forme monter sur une corde, il faisait très noir mais j’ai réussi à apercevoir quelques éléments : son corps était grand ; il avait une tête un peu asiatique, des cheveux courts… Je me précipitai à l’ouverture où ce personnage avait disparu. Mais plus rien, plus personne, plus de corde, juste une ouverture menant plus haut. Nous prîmes donc notre corde et notre lampe et nous montâmes, lentement, mais sûrement… Enfin, nous arrivâmes sur une plateforme, mais là, devant nous, notre plus grande terreur : un passage étroit et très petit, même pas assez grand pour faire passer un petit loup. Nous étions terrorisés mais déterminés. Le passage était horrible, nous devions nous déplacer la joue collée au sol pour pouvoir espérer passer. Faire demi-tour était impossible, nous avons donc vite regretté. D’un coup, nous n’avions plus besoin de ramper, et le tunnel était devenu beaucoup plus soigné, les parois étaient droites et faites en terre, ce qui signifiait que nous nous approchions de la surface ! Enfin, nous fûmes éblouis par la lumière du jour, même si il se faisait tard. Nous étions dans un château, il y avait une herse et même un pont-levis !
Une sirène résonna si fort, que notre cœur a failli s’arrêter. Puis, plusieurs explosions suivirent. Rose proposa de monter sur une grande tour au milieu du château. Celle-ci était très abîmée, les murs semblaient très fragiles. Peu à peu ils s’effritaient en petit grains, comme du sable. Pendant que nous étions en train de monter, je vis la silhouette de la personne aperçue dans la grotte, je la reconnue, c’était Tristan, un ami de classe. Il était là, à me fixer, à moitié dans une maison… Rose m’appela, je montai donc, en me demandant ce qu’il faisait là. Je compris alors la raison pour laquelle Rose m’avait appelé : des pompiers transportaient Brieuc ! Nous fûmes très contents à l’idée de voir Brieuc de nouveau sur pieds. Nous observâmes longtemps l’ambulance blanche s’éloigner sur le chemin. Nous regardâmes alors les traces de ses roues dans la boue…
Quand nous avions voulu partir, les oiseaux ont commencé à tourner au-dessus de nous, nous étions perplexes devant ce phénomène. Je sentis une étrange présence derrière moi, je me retournais, quand quelque chose, ou devrais je dire quelqu’un, nous poussa du sommet de la tour ! Je vis la grande tour devant un ciel bleu sans nuage, puis une ombre se déplaçant derrière des merlons ; tout à coup elle se dispersa en cendres. Ce fut la dernière chose que je vis…
Vendredi 11 octobre nous avons vécu une sortie. La forêt est le plus bel endroit à ce jour mais certaines fois elle nous surprend beaucoup ! La nature est incroyable en voici quelques atouts : la rivière calme ; le doux chant des oiseaux ; les branches qui craquent sous nos pieds et le son des détonations pour faire fuir les oiseaux qui cherchent à chaparder les raisins. Mais le mieux ce sont les feuilles de toutes les couleurs.
1) Je trouve que le premier choix de Mano Ixa est audacieux et dangereux car monter sur le bateau d’un inconnu sans se soucier des conséquences, c’est courageux. Après tout il a fait cela pour se faire soigner en France car il a une maladie, c’est compréhensible. Plus le temps passe plus Yann Kermadec et Mano Ixa s’entendent. Il commence donc à comprendre ce qu’il à fait : si tout le monde savait qu’il se trouve sur ce voilier alors que le Vendée Globe est une course en solitaire, son ami le skippeur serai disqualifié par sa faute, et il ne veut pas que cela se produise. Alors, il a pris le radeau de secours et a tenté de s’enfuir pour que Yann Kermadec puisse gagner la course. C’est un choix empathique.
2) Lorsque Yann Kermadec a découvert Mano Ixa sur son bateau, son premier choix a été de le déposer au plus vite sur une île, je pense que c’est un mauvais choix. Mais lorsqu’il a appris qu’il avait des problèmes de santé il a décidé de le garder a bord, c’est un bon choix. Le temps passe puis un jour il reçoit un appel de son beau frère et est obligé de tout avouer : Il n’était pas seul sur le voilier. Lorsqu’il a appris cela le beau frère est venu chercher Mano Ixa au plus vite et le plus discrètement possible. Mais Yann Kermadec n’a pas voulu qu’il l’emmène donc il l’a gardé jusqu’à la fin ! C’est très gentil de sa part. Arrivé aux Sables d’Olonnes, il ne passe pas la ligne d’arrivée… Il passe à coté puis vient chercher Mano Ixa pour le montrer à tout le monde ! C’est un très bon choix et grâce au vaillant skippeur la vie d’un enfant sera sauvée !
Vendredi 11 octobre, la classe et moi avons vécu une randonnée ! Nous avons vu la nature : des racines, des arbres, des souches, des ronces, des glands, des champignons et de la mousse douce. J’entendais la musique de la forêt : les chants des arbres et des oiseaux, la rivière qui coulait doucement. Je sentais les odeurs de l’air froid et du crottin de cheval. Je buvais l’eau fraîche de ma gourde. Je touchais les troncs des arbres, la terre et la rosée du matin. Ensuite, nous sommes allés à Choully pour faire des photos artistiques.
Je pense que le choix de Mano Ixa est bon parce qu’il a changé la vie de Yann Kermadec. Son deuxième choix était dangereux car il pouvait mourir sans nourriture au milieu de nulle part, mais Yann Kermadec avait vu que Mano Ixa avait disparu. Je pense que le choix de Yann a été bon car s’il l’avait laissé à son beau frère, cela n’aurait pas changé sa vie ! Le deuxième choix est bien mais de toutes façons, s’il avait traversé la ligne d’arrivée, il aurait été éliminé. Son deuxième choix est bien parce qu’il n’a pas triché, parce qu’il a avoué qu’il n’était pas seul sur le bateau de son beau-frère. Je pense que les choix de Yann Kermadec ont été bons ! Mais il y a un choix de Mano Ixa qui a été dangereux pour lui.
En lien avec le Vendée Globe, nous avons vu un film qui s’intitule « En solitaire ». Il raconte l’histoire d’un skipper, Yann Kermadec, qui participe à la course du Vendée Globe en solitaire. Mais Mano Ixa, un passager clandestin, monte à bord de son voilier…
Je pense que Mano Ixa a fait de bons choix, parce que c’est gentil de ne pas vouloir le faire disqualifier, je pense aussi qu’il a bien fait d’aller dans le bateau car il avait un problème de cœur.
Je pense qu’au début Yann Kermadec a fait de mauvais choix par exemple il a voulu abandonner Mano Ixa sur une île…, mais après il a fait de bons choix : il lui a donné à manger, il l’a même aidé pour sa maladie et à la fin il n’est même pas passé entre les bouées de la ligne d’arrivée ; il s’est disqualifié juste pour Mano Ixa donc pour moi c’est gentil.
Je me balade au bord de la rivière du Lion quand tout à coup je tombe nez à nez avec un extraterrestre !
– Bonjour je m’appelle Rocototo. J’ai un an, chez moi on dit 1 an pour 10 ans, j’ai donc 10 ans et toi ?
– Pourquoi devrais-je te le dire ?
– Car moi je te l’ai dit.
– Bon, je m’appelle Hanaé, j’ai 9 ans. Pourquoi es-tu là ?
– Ma femme est morte ici, il y a un an, alors je veux lui rendre hommage…
– Ah ! Je suis désolée…
– Peux-tu m’accompagner ?
– NON !
– Pourquoi ?
– Parce que je ne te fais pas confiance.
– Allez… 10 minutes à peine !
– Non de non de chez non !!!
– Bah ça va, pourquoi tu m’agresses ?
– Car je ne te connais pas et tu ne me connais pas.
– Bon d’accord je suis pas là pour ça… Mais tu vas m’aider.
– Stop ! Je ne m’engage pas si vite, de quoi s’agit-il ?
– Je suis un bandit et je dois kidnapper ta maman !
– NON ! Jamais ! Hors de question ! Pas possible !
– Tu sais si tu me donnes ta maman, je te donne 10 567€ !
– NON ! Je ne donne ma maman à personne !
– Allez…
– Je pars, au revoir !
Je suis alors rentrée chez moi et j’ai aussitôt raconté cette aventure à ma mère.
– Mais je te l’assure maman, c’était un extraterrestre !
– Allons, tu as simplement dû faire un cauchemar, me répond-elle.
Ma mère ne m’a pas cru. Moi je sais bien ce que j’ai vécu… Si j’avais accepté de la vendre pour 10 567€, elle serait bien obligée d’admettre la vérité ! Heureusement que je ne l’ai pas fait !
Le vendredi 28 février, Julien et Marc se font réveiller par leur sœur Juliette. Puis les frères appellent la servante Antoinette mais elle ne répond pas, alors ils s’habillent et descendent dans la cuisine. Les frères sentent la bonne odeur du café car c’est Mozart qui en boit.
Vendredi 11 octobre, nous sommes partis en sortie à Choully.
Après 20 minutes de marche nous avons pénétré dans la forêt. Les feuilles des arbres avaient des couleurs vives : orange, vert, jaune… Lorsque j’ai touché leur tronc, ils étaient rugueux et humides. La terre était molle et mouillée, les limaces et les vers de terre montraient le bout de leur nez.
Nous pouvions entendre l’Allondon car nous étions tout proches. On entendait aussi le craquement des petites branches et des feuilles sous nos pieds.
Ensuite nous sommes repartis, nous avons mangé et pris des photos puis nous sommes rentrés à l’école.
Vendredi 11 octobre, nous sommes partis en randonnée à Choully.
Je me suis assise contre un arbre : je voyais des plantes vertes, des feuilles mortes, des arbres et de la mousse. C’était une très grande forêt. J’entendais la rivière qui coulait lentement, la musique des oiseaux, des avions qui volaient dans le ciel, les odeurs fraîches de la terre m’apaisaient. Je pris une grande gorgée d’eau fraîche, puis j’ai touché les feuilles piquantes, les arbres étaient rugueux et la mousse douce. Tout était tranquille. Puis nous sommes repartis marcher, le paysage a changé : nous avons traversé les vignes et les champs de pommiers.
Vendredi 11 octobre, nous avons la chance de faire une randonnée dans une forêt magnifique. Je voyais des feuilles de couleur jaune et orange, le ciel bleu et un peu blanc. Je me demandais ce que l’on pouvait entendre dans une forêt : on peut entendre le courant de la rivière, quelque bruissements d’avions et des chants d’oiseaux. Je sentais de l’air frais et fort, l’humidité et l’odeur de l’herbe. J’avais un peu soif alors j’ai bu de l’eau de ma bouteille. Il y avait beaucoup de choses à toucher alors j’ai touché un tronc d’arbre lisse et un peu pointu, des feuilles et de la terre.
Puis nous avons suivi des empreintes de sabots qui nous menés à un bel endroit où l’on a décidé de pique-niqué. Enfin nous sommes allés à Chouilly pour faire de la photographie artistique. C’était difficile de trouver des nouvelles idées car l’année dernière nous étions déjà allés à Chouilly et avions déjà pris des photos artistiques.