Voici une BD, les dessins sont d’Hergé, les textes de Rayan.
Clique sur l’image pour l’agrandir. Tu peux zoomer.
Lors d’une balade, la princesse accompagnée de son fidèle chevalier rencontra un dragon qui était blessé. Elle décida donc de s’approcher ; elle le soigna car les dragons sont des animaux sacrés. Elle en profita pour lui donner à manger. A ce moment là des braconniers apparurent et attaquèrent le dragon ! Le chevalier sortit son épée et les élimina un à un. Ce fut un grand moment. Et voilà pourquoi il faut protéger les dragons !
Kylian
Le vendredi 11 octobre, nous avons fait une sortie.
À 9h nous avons pénétré dans une vaste et belle forêt. Je pouvais entendre les merveilleux chants d’oiseaux, le doux craquement des branches mortes sous mes pieds et la musique des gouttes de rosée qui tombaient au bord des chemins en terre. Le lichen couvrait les branches des grands arbres. Je voyais les belles feuilles d’automne et respirais la fraîcheur du matin.
Tristan
Le père est malade. Toute la famille n’aime pas le père sauf deux petites filles. La fille qui a 5 ans, s’appelle Alicia, et l’autre, âgée de 4 ans s’appelle Lily.
Alicia est en train de chercher des médicaments pour essayer de le soigner ; Lily, quant à elle, cherche une bouteille d’eau. Les autres membres de la famille ne se préoccupent pas du père malade : la maman prend un bain, les frères et sœurs d’Alicia et Lily jouent au papa et à la maman. Alicia et Lily restent toujours aux côtés du papa malade, même pendant la nuit. Les petites filles ont faim alors elles demandent au papa si elles peuvent prendre le téléphone afin de chercher sur internet comment cuisiner un bon repas. Le temps passe et les petites filles donnent toute leur gentillesse au père malade. Peu à peu il se sent bien.
Le lendemain matin le père n’est plus malade !! Mais les préférées du père se sont endormies. Subséquemment, elles ne savent pas la bonne nouvelle. Le père est allé discrètement dans la cuisine pour préparer un bon repas pour ses préférées. Alicia et Lily se réveillent à cause de l’odeur de la brioche.
Elles viennent à la cuisine est une voix dit « Surprise » !!! Elles ont eu peur mais ça n’a pas d’importance pour elles, elles sont juste contentes que leur père soit guéri.
Hanae
Il était une fois un jeune garçon nommé Elio. Il voulait explorer le monde. Il allait sur les collines voir le coucher de soleil. Elio quitta sa maison car il en avait assez de vivre avec ses parents et sa sœur qui pleurait toutes les nuits.
Le garçon partit avec : un sac ; un bonnet pointu ; un pantalon rouge et un tube de produit à bulles.
Sur les colline il y avait des bleuets. « Les étoiles flottent dans les airs ! » se dit Elio.✨
Elio pénétra dans la forêt afin de voir ses amis les loups, pour jouer.
On ne l’a jamais revu !🌄⛺
Rose
Ce matin, l’odeur de la brioche me réveilla. Mes parents n’étaient plus au lit, il n’y avait pas de bruit. Arrivée à la cuisine… personne ! Je vis un petit mot sur la table, sur ce mot c’était écrit : « Ma chérie nous sommes partis en balade ».
C’est alors que je me souvins que l’on en avait discuté la veille. Je mangeais ma brioche devant mon émission « la TTLJ ». Ensuite je suis retournée dans mon lit.
Deux heures plus tard j’entendis des voix parler. Elles disaient : « Elle ne s’est pas levée ! On la réveille ? » Alors là, j’étais furieuse ! D’abord ils partaient sans moi et ensuite ils disent que je ne me réveille pas ! Je me suis habillée en vitesse et je suis allée les voir.
« Bonne Fête d’anniversaire » !!!
Ils avaient les bras chargés de cadeaux !!!
Hanaé
Il était une fois un roi qui avait employé une musicienne qui se nommait Louise. Mais sans le savoir il avait employé la déesse du feu. Louise jouait du violon. Elle aimait beaucoup le violon et les dragons. Vous allez vous dire que ça n’a aucun sens : on vous parle de musique et tout à coup on vous parle de dragons ! Je suis d’accord avec vous si vous pensez cela ! Nous allons cependant parler de dragon. Alors voilà, Louise adorait énormément les dragons – c’est normal, c’est la déesse du feu et les dragons crachent du feu -. Elle possédait elle-même un dragon. Le roi quant à lui ignorait tout de sa passion pour cet animal si particulier. Elle cachait son dragon dans la réserve d’argent du château. Le roi avait une énorme cave dans laquelle il stockait son or. Un jour Louise sortit son dragon : « Plus haut plus haut ! »
Le dragon était bleu et au soleil des reflets verts apparaissaient sur ses écailles, il était magnifique. Tous les deux vécurent le meilleur moment de leur vie !!!
Louise
Avec le classe nous sommes partis en randonnée au cœur de la forêt. Nous avons travaillé en expression écrite. J’entendais la rivière bruyante, les oiseaux chanter et les gouttes de rosée tomber. J’observais les arbres moisis et j’effleurais la mousse bien verte et froide. La forêt sentait la terre humide. Je buvais de l’eau fraîche !!😅.
Jassem 💪💪🫵🏻🫵🏻👦
Vendredi 11 octobre, nous sommes partis avec toute la classe en randonnée. En premier nous sommes passés devant une borne, puis nous avons longé la rivière pour pénétrer dans une magnifique forêt : les feuilles sèches d’automne claquaient sous nos pieds. Les arbres hauts et majestueux se tordaient, comme pour nous accueillir, les feuilles vert-orangé brillaient sous la lumière des rayons de soleil, la mousse et le lierre encerclaient et envahissaient les troncs d’arbres mouillés par la pluie. Nous marchions sur le sol boueux et caillouteux. La végétation grouillait de vie, des insectes de tout genre étaient reconnaissables : chenilles, papillons, dames araignées notamment et d’autres animaux encore,…Le ciel bleu s’étendait à perte de vue, aucun nuage ne se montrait sur l’énorme dôme bleu qui nous entourait. Le chant doux et mélodieux des oisillons et le bruissement des branches se mêlaient au bruit infini de la rivière qui coulait non loin de là. Le vent doux et délicat caressait la nature telle une mère et son enfant. Les troncs rugueux et durs résistaient au temps, tout était froid et mouillé en ce matin d’octobre. Les jeunes pousses se pliaient sous nos pieds. Les feuilles douces et les pierres dures se côtoyaient sur la terre molle, la forêt gardait jalousement son humidité collante. L’odeur du bois et de l’air humide étaient frais et ne se séparaient pas de nos vêtements. C’était une belle odeur. Enfin, nous nous sommes rendus au lieu où nous avons pique-niqué. Ensuite nous sommes partis vers Choully.
Adam
Je me balade au bord de la rivière du Lion quand tout à coup je tombe nez à nez avec un extraterrestre !
– Salut peux-tu- m’aider ? Mon vaisseau c’est fait percuter par un astéroïde, et j’ai donc perdu le contrôle ! Me voilà sur la planète Terre ! Je veux rentrer sur la planète Mars, peux-tu m’aider ?
J’ai voulu répondre mais il continue… Comme je ne savais pas réparer son vaisseau il a dû se débrouiller seul. Je lui ai apporté un verre de limonade, pour qu’il se rafraîchisse.
– Merci euh… s’il te plaît, peux-tu m’accompagner jusqu’à ma planète ? J’ai un peu peur d’aller seul, ce n’est pas très loin, c’est à six minutes d’ici.
J’ai réfléchi et j’ai accepté de l’accompagner.
Six minutes plus tard…
Et voilà, nous sommes arrivés sur la planète Mars !
– Veux-tu du gâteau ? C’est pour te remercier de m’avoir accompagné.
Je voulais une part de gâteau, mais il m’a donné le gâteau en entier !
– Tu dois rentrer chez toi maintenant, il commence à se faire tard.
Je me demandais comment j’allais faire pour rentrer chez-moi, et il a continué…
– Je vais te téléporter sur la planète Terre. Fais attention ça va secouer un peu !
J’avais un peu peur mais ça allait mieux. Alors je lui ai dit au revoir, et il m’a dit au revoir.
Trente secondes plus tard…
J’étais à nouveau au bord de la rivière du Lion. La téléportation est plus rapide que le trajet en vaisseau ! Je suis rentrée chez moi avec mon gâteau à la main. Mon frère m’a demandé où j’avais acheté ce gâteau. Je lui ai répondu que si je lui disais il ne me croirait pas.
Alors il a haussé les épaules.
Kaoutar
Vendredi 11 octobre nous sommes partis dans une forêt et nous avons fait une expression écrite.
J’ai vu des grands arbres et des feuilles de toutes les couleurs. J’entendais la rivière qui coulait et les oiseaux chanter. Quand on marchait les branches mortes craquaient sous nos pieds. L’odeur de la forêt est naturelle. J’ai touché les feuilles douces et les troncs d’arbres rugueux. J’étais contente de vivre cette sortie.
Ensuite nous avons continué de marcher et nous sommes arrivés pour pique-niquer.
Enfin, nous avons terminé notre journée par le village de Choully pour faire de belles photographies.
Kaoutar
Rose a proposé d’aller explorer la grotte, alors Brieuc et moi sommes allés chercher une lampe et une corde…
Par le passé, on avait déploré de nombreux accidents dans cette grotte, pire, des choses très étranges : disparitions, blessures inexplicables, des contes et des légendes sûrement… Etant enfant, lire des journaux n’est pas très amusant, de ce fait, nous ne savions rien de tout cela. Le contraire nous aurait fort découragé, mais nous aurait sauvés…
L’entrée de la grotte était… mal entretenue. Un arbre desséché et sans feuillage arrivait à se dresser sur ses dernières racines, un panneau « danger » dont les lettres rouges étaient effacées par le temps et la pluie gisait là, à l’entrée de la grotte, au milieu de la boue. Mais cela ne nous a pas pour autant découragés – les enfants sont très têtus -. L’intérieur de la grotte n’était point meilleur, l’odeur de moisissures et de champignons piquait le fond de la gorge. La lumière semblait ne pas vouloir entrer dans cet endroit disgracieux et engourdissant. La pierre était coupante et glissante. Des gouttelettes nous tombaient sur la tête. L’air était tellement humide que la lampe a été difficile à allumer. Bientôt nous fûmes dans un endroit où les stalagmites et les stalactites menaçaient de nous transpercer la tête et les chevilles. La poussière nous faisait tourner la tête. Brieuc se retourna pour éternuer, et, dans la grotte la voix de Rose résonna :
– Brieuc, derrière toi ! Je mis du temps à comprendre ce qui s’était passé. Brieuc était tombé dans trou, il s’accrochait désespérément au bord. Sous le choc, il avait lâché la lampe de rechange, celle-ci s’écrasa sur le sol quelques mètres plus bas.
– Brieuc ! cria Rose. On va te lancer une corde, tu vas l’attacher à ta ceinture, et on va te remonter ! Brieuc exécuta, non sans mal, la demande de Rose. Nous tirâmes de toutes nos forces. Mais nos efforts étaient vains. Brieuc était coincé.
– On va aller chercher des secours ! T’inquiète pas, dit-elle d’une voix pas du tout rassurante. Le garçon, blême, acquiesça faiblement, avant de s’évanouir.
Pendant plusieurs minutes personne n’osa prononcer un mot. Enfin, Rose jeta furieusement des pierres sur le mur. Les pauvres roches millénaires n’en pouvaient plus, elle lâchèrent… L’entrée s’effondra laissant paraître un dernier rayon de soleil, avant qu’une nuit noire ne s’abatte sur la grotte. J’aperçus une forme monter sur une corde, il faisait très noir mais j’ai réussi à apercevoir quelques éléments : son corps était grand ; il avait une tête un peu asiatique, des cheveux courts… Je me précipitai à l’ouverture où ce personnage avait disparu. Mais plus rien, plus personne, plus de corde, juste une ouverture menant plus haut. Nous prîmes donc notre corde et notre lampe et nous montâmes, lentement, mais sûrement… Enfin, nous arrivâmes sur une plateforme, mais là, devant nous, notre plus grande terreur : un passage étroit et très petit, même pas assez grand pour faire passer un petit loup. Nous étions terrorisés mais déterminés. Le passage était horrible, nous devions nous déplacer la joue collée au sol pour pouvoir espérer passer. Faire demi-tour était impossible, nous avons donc vite regretté. D’un coup, nous n’avions plus besoin de ramper, et le tunnel était devenu beaucoup plus soigné, les parois étaient droites et faites en terre, ce qui signifiait que nous nous approchions de la surface ! Enfin, nous fûmes éblouis par la lumière du jour, même si il se faisait tard. Nous étions dans un château, il y avait une herse et même un pont-levis !
Une sirène résonna si fort, que notre cœur a failli s’arrêter. Puis, plusieurs explosions suivirent. Rose proposa de monter sur une grande tour au milieu du château. Celle-ci était très abîmée, les murs semblaient très fragiles. Peu à peu ils s’effritaient en petit grains, comme du sable. Pendant que nous étions en train de monter, je vis la silhouette de la personne aperçue dans la grotte, je la reconnue, c’était Tristan, un ami de classe. Il était là, à me fixer, à moitié dans une maison… Rose m’appela, je montai donc, en me demandant ce qu’il faisait là. Je compris alors la raison pour laquelle Rose m’avait appelé : des pompiers transportaient Brieuc ! Nous fûmes très contents à l’idée de voir Brieuc de nouveau sur pieds. Nous observâmes longtemps l’ambulance blanche s’éloigner sur le chemin. Nous regardâmes alors les traces de ses roues dans la boue…
Quand nous avions voulu partir, les oiseaux ont commencé à tourner au-dessus de nous, nous étions perplexes devant ce phénomène. Je sentis une étrange présence derrière moi, je me retournais, quand quelque chose, ou devrais je dire quelqu’un, nous poussa du sommet de la tour ! Je vis la grande tour devant un ciel bleu sans nuage, puis une ombre se déplaçant derrière des merlons ; tout à coup elle se dispersa en cendres. Ce fut la dernière chose que je vis…
Adam
Vendredi 11 octobre nous avons vécu une sortie. La forêt est le plus bel endroit à ce jour mais certaines fois elle nous surprend beaucoup ! La nature est incroyable en voici quelques atouts : la rivière calme ; le doux chant des oiseaux ; les branches qui craquent sous nos pieds et le son des détonations pour faire fuir les oiseaux qui cherchent à chaparder les raisins. Mais le mieux ce sont les feuilles de toutes les couleurs.
Eliott
1) Je trouve que le premier choix de Mano Ixa est audacieux et dangereux car monter sur le bateau d’un inconnu sans se soucier des conséquences, c’est courageux. Après tout il a fait cela pour se faire soigner en France car il a une maladie, c’est compréhensible. Plus le temps passe plus Yann Kermadec et Mano Ixa s’entendent. Il commence donc à comprendre ce qu’il à fait : si tout le monde savait qu’il se trouve sur ce voilier alors que le Vendée Globe est une course en solitaire, son ami le skippeur serai disqualifié par sa faute, et il ne veut pas que cela se produise. Alors, il a pris le radeau de secours et a tenté de s’enfuir pour que Yann Kermadec puisse gagner la course. C’est un choix empathique.
2) Lorsque Yann Kermadec a découvert Mano Ixa sur son bateau, son premier choix a été de le déposer au plus vite sur une île, je pense que c’est un mauvais choix. Mais lorsqu’il a appris qu’il avait des problèmes de santé il a décidé de le garder a bord, c’est un bon choix. Le temps passe puis un jour il reçoit un appel de son beau frère et est obligé de tout avouer : Il n’était pas seul sur le voilier. Lorsqu’il a appris cela le beau frère est venu chercher Mano Ixa au plus vite et le plus discrètement possible. Mais Yann Kermadec n’a pas voulu qu’il l’emmène donc il l’a gardé jusqu’à la fin ! C’est très gentil de sa part. Arrivé aux Sables d’Olonnes, il ne passe pas la ligne d’arrivée… Il passe à coté puis vient chercher Mano Ixa pour le montrer à tout le monde ! C’est un très bon choix et grâce au vaillant skippeur la vie d’un enfant sera sauvée !
Jade
Vendredi 11 octobre, la classe et moi avons vécu une randonnée ! Nous avons vu la nature : des racines, des arbres, des souches, des ronces, des glands, des champignons et de la mousse douce. J’entendais la musique de la forêt : les chants des arbres et des oiseaux, la rivière qui coulait doucement. Je sentais les odeurs de l’air froid et du crottin de cheval. Je buvais l’eau fraîche de ma gourde. Je touchais les troncs des arbres, la terre et la rosée du matin. Ensuite, nous sommes allés à Choully pour faire des photos artistiques.
Rose